Irasshaimase, Bienvenue, Huan ying dans mon monde.

samedi 28 avril 2018

Alternative écologique

Petit test du soir, bonsoir !!!

J'ai testé les "bee wrap", mais c'est quoi donc que ces choses ? 

Et bien tout bêtement c'est de la toile cirée maison. Alors je vous arrête tout de suite, on ne peux pas faire une nappe cirée, à moins d'avoir un super méga grand four. Je vous explique.

Pour mon test, j'ai choisi mes plus jolis tissus de récup', teint par mes soins lors d'une session teinture naturelle. Il vous faut aussi de la cire d'abeille et votre four. 

Sur un papier cuisson, posez votre tissu repassé (c'est un plus pour avoir un rendu optimum), sepoudrez de paillettes de cire (pour ce premier test, j'ai été un peu trop généreuse sur la cire.) et après on enfourne à 80° jusqu'a ce que la cire ait parfaitement fondue. Laissez refroidir sur une grille ou une surface plate. Pour ma part, j'ai laissé le tout sur ma plaque de cuisson et j'ai laissé refroidir toute la nuit. 




Bon ça c'est le coté petit chimiste, mais vous allez me dire HARUKO à quoi ça sert ? 

Si vous souhaitez réduire vos déchets, vous pouvez remplacer votre aluminium ou cellophane qui couvre vos plats, qui emballe vos sandwichs ...

La cire se nettoie facilement avec une lavette humide. Si les taches sont un peu tenaces, rincez à l'eau tiède, pour éviter de faire refondre la cire. Un petit coup de torchon et hop paré à être réutilisé.

Attention à ne pas utiliser un tissu trop épais, la souplesse ne sera pas géniale. Vous pouvez prendre les mesures de vos plats pour ajuster les dimensions de vos toiles. 

Et quand la toile montrera des signes de faiblesses, il suffira de recommencer l'opération.

Alors à vos fourneaux !!!

Haruko

vendredi 27 avril 2018

Amour aquatique

J'ai depuis mon enfance un faible pour la belle et la bête, et La forme de l'eau est, en son genre une histoire de Belle et de bête. 

Une jeune femme muette, travaille comme technicienne de surface dans un laboratoire scientifique et va croiser la route d'un spécimen un peu particulier. Une forme de vie aquatique, cobaye d'expérience avec qui elle va interagir, communiquer, car au delà des apparences, pour lui elle est normale. 
Elle va donc au mépris des règles et de la société aimer cet être. 

La forme de l'eau vous entraine dans le monde fantastique de Del Toro, moins effrayant que le labyrinthe de Pan, moins japon que Pacifique Rim, le réalisateur vous prend la main pour lentement mais surement vous faire glisser dans l'onde. 

Et à nouveau la bête n'est pas celle que l'on croit. Un peu long par moment, il vous emmène doucement vers la magie. Cet instant suspendu où le secret est révélé. 



Haruko.